Tras la intervención militar francesa en Mali y el posterior ataque terrorista a la planta gasística de Amenas se ha generado en Occidente un aumento de la preocupación por la estabilidad de los países del Magreb. Marruecos siempre ha pretendido rentabilizar la "amenaza yihadista" en beneficio de sus intereses anexionistas en el Sáhara Occidental, por un lado intentando criminalizar al pueblo saharaui con campañas de difamación sobre supuestas conexiones entre los saharauis y la rama de Al Qeda que opera en el Sahel y por otro intentando presentarse de cara a las grandes potencias como un "aliado estratégico y fundamental" en la zona frente al terrorismo. En el caso del conflicto saharaui, a falta de argumentos legales y de racionalidad democrática, se realiza contraponiendo su presunta estabilidad frente a una hipotética debilidad de un futuro estado saharaui.
En los últimos años aparecen ciertas sombras que alimentan la sospecha de que hay oscuros intereses más allá de la estricta guerra yihadista declarada por estos grupos a Occidente.No parece casual que siempre sean Argelia y el Frente Polisario los actores en la zona que están en el punto de mira desestabilizador de estos grupos, o que los medios de comunicación que dan cobertura mediática a los terroristas son agencias mauritanas en la órbita del mazjén, o incluso, que las negociaciones para liberar secuestrados se produzcan en un país aliado de Marruecos en la zona como es Burkina Faso.
El último atentado en Argelia se produce, según fuentes terroristas, por la cesión de este país de su espacio aéreo para la intervención militar francesa, un apoyo casi forzado por hechos consumados, cuando paradójicamente el primer apoyo a la intervención ha venido de la mano de Marruecos.
La envergadura de la operación hace pensar que no se debe a una respuesta inmediata sino que probablemente sea fruto de una planificación anterior al permiso del espacio aéreo. La percepción por parte de USA y Europa de Argelia como un país clave para la seguridad en la zona, así como el aumento de su atractivo inversor, ensombrece el papel hasta ahora representado por Marruecos. Quizás puede que los intereses extraños tengan que ver con este asunto. El autor intelectual de los actos terroristas tiene claro que entre sus objetivos está la desestabilización de Argelia y al Frente Polisario, tanto en el plano político y económico como ante la comunidad internacional. Si tenemos en cuenta que la amenaza terrorista es prácticamente el único argumento de la diplomacia marroquí para defender su política expansionista en el Sáhara y que este asunto capitaliza casi en exclusiva la política exterior marroquí, se puede intuir que intereses de facto pueden estar ocultos. No parece casual, que en un medio en español afín al mazjén unos dias antes del asalto se recogiese una información de los servicios secretos marroquíes en los que se afirma la existencia de un cambio en las prioridades de la inteligencia argelina, esforzada ahora, por aumentar sus efectivos en las fronterizas, Túnez y Libia. Tampoco pasan desapercibidos el silencio inicial y la tardía condena del asalto por parte de la diplomacia marroquí. (cuando el asunto estaba liquidado y había una condena general ).Es de suponer que alguien se daría cuenta en Rabat lo caricaturesco que resulta pretender liderar frentes o cumbres antiterroristas sin condenar el terrorismo.
Aunque esta situación ya ha tenido consecuencias para la cooperación con los campamentos saharauis de Tinduf, con la retirada de los cooperantes, quizás la evolución de los acontecimientos puede no ser la esperada, la contundencia y rapidez argelina en la operación militar para acabar con el secuestro y la importancia que cobra Argelia para que Francia salga airosa de la operación militar puede que haga saltar las alarmas en Rabat, al que quizás hubiera convenido un secuestro largo que dibujara un escenario en el que la opinión pública internacional estuviera pendiente de negociaciones y mediaciones en los que Marruecos podría alcanzar un papel relevante.
Quizás Marruecos tenga ahora prisa por hacerse un hueco que le permita rentabilizar la actual situación para sus intereses en el conflicto del Sáhara Occidental.
Por lo menos la prensa marroquí se muestra esperanzada en ese asunto.Muestro la noticia del portal marroquí Yabiladi
Reunion Mali/Immigration clandestine : Le Maroc au cœur des peurs européennes Publié le 23.01.2013 à 14h48 | Par Julie Chaudier
réunion entre les ministres de l'Intérieur du Portugal, de l'Espagne, du Maroc et de la France, aura lieu vendredi, à Rabat.
Les discussion porteront sur l'immigration clandestine et le jihadisme. Signe que le Maroc est à la fois le principal allié de la France et l'Espagne face à ce qu'elle considère comme les principales menaces à sa sécurité, mais aussi le pays par lequel le mal arrive.
"Le cri" d'Edvard Munch. Vendredi 25 janvier, Rabat sera le siège d’une réunion quadripartite entre le Maroc, l’Espagne, la France et le Portugal. En ligne de mire : immigration clandestine et terrorisme. Les ministres de l'Intérieur des 4 pays vont s’entretenir à Rabat des « menaces » guettant « la stabilité et la sécurité de la région », a annoncé hier mardi 22 janvier, une source ministérielle marocaine, rapporte l’AFP. Cette réunion intervient dans le contexte particulier d’urgence liée à l’intervention militaire de la France au Mali.
Pour la France et l’Espagne, le Maroc est à la fois un allié fiable par la volonté de son gouvernement et de son roi, par sa stabilité institutionnelle, mais le royaume est aussi le pays par qui le mal arrive, en particulier concernant l’immigration clandestine et le terrorisme. Si le Maroc n’est pas particulièrement le siège de jihadistes alliés d’AQMI, ni le seul pays d’émigration à destination de l’Afrique il est traversé par les deux principales peurs de l’Europe en général et de la France et de l’Espagne en particulier.
Sebta et Mélilia menaces pour l’Espagne
Au début du mois de janvier, le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a validé la nouvelle Stratégie de sécurité nationale. Elle désigne comme principal risque sécuritaire les deux enclaves Sebta et Mélilia. Le Maroc est donc perçu, en creux, comme la principale menace pesant sur le royaume d'Espagne. Une analyse de risque qui a débouché logiquement, sur l’annonce, hier, mardi 22 janvier de la modification de la « structure » de la frontière avec le Maroc, par Francisco Antonio González, délégué du gouverneur. L’objectif de cette démarche est d’empêcher l’entrée illégale d’immigrants et de « criminels ».Pour les autorités de Sebta, les choses devraient être faites de telle sorte qu’un clandestin ou un délinquant expulsé trouve beaucoup « plus de difficulté à entrer de nouveau en Espagne », indique-t-il. Le Maroc devrait être partie prenante de cette restructuration, mais il ne l’a pas encore confirmé. Cette annonce intervient, alors que depuis cet été, où de nombreux migrants ont tenté, par groupe, de franchir les barbelés de l’immense clôture, Sebta et Mélilia n’ont eu de cesse de renforcer le mur qui les sépare du Maroc.
AQMI au Maroc
L’obsession espagnole et plus largement européenne liée à l’immigration rejoint actuellement les préoccupations liées à la guerre qui se déroule au Mali, depuis le 12 janvier, entre l’armée française associée à l’armée malienne et les jihadistes d’AQMI. Celle-ci concerne d’abord la France qui mène la guerre, mais aussi l’Espagne par sa proximité et en raison des attentats déjà perpétrés sur son sol, à Madrid en 2004. Le Maroc dans ce contexte est lui aussi traversé par la mouvance jihadiste.Le 5 novembre dernier, le département de Mohand Laenser fait état de l’arrestation d’une cellule baptisée « Ansar Achariaâ au Maghreb islamique », composée de huit membres et présentée comme ayant des connexions avec Al Qaïda. Depuis les rafles dans les milieux salafistes terroristes vont crescendo : 24 novembre, 25 décembre et la dernière en date a été révélée le 19 janvier. Elle a permis le démantèlement d’une cellule spécialisée dans l’enrôlement de Marocains ou de ressortissants étrangers d’origine marocaine dans les rangs d’Al Qaida au Mali et en Syrie où justement trois membres, originaires de Sebta et ayant la nationalité espagnole, avaient été tués lors d’attentats suicides.
Maroc : dernière frontière
Face à AQMI et à l’immigration clandestine, le Maroc représente pour la France et l’Espagne à la fois un allié fiable et le dernier barrage face aux menaces. En ce début de conflit, le Maroc s’est révélé, encore une fois, un allié fidèle, en offrant son ciel au passage des avions français et en autorisant leur ravitaillement. De la même façon, le Maroc a toujours collaboré activement avec l’Espagne pour protéger les frontières de Sebta et Mélilia.Sa seule réticence s’est toujours limitée au refus de réadmettre des Subsahariens en situation clandestine dans l’Union européenne au prétexte qu’ils auraient pu passer par le Maroc. Une limite franchie allègrement, le 6 septembre dernier, lorsque près de 83 personnes avaient réussi à rejoindre illégalement l’îlot Sfiha qui appartient théoriquement encore à l’Espagne.
La réunion de vendredi est le signe du renforcement de l’importance du Maroc dans la géostratégie européenne. Une place et une collaboration qui se monnaye. Après le soutien répété lundi 21 janvier, par Pouria Amirshahi, au plan d’autonomie marocain pour le Sahara, qu’est ce que la France et l’Espagne offriront au Maroc pour sa collaboration ?
http://www.yabiladi.com/articles/details/15104/reunion-mali-immigration-clandestinemaroc-.html
miércoles, 23 de enero de 2013
domingo, 20 de enero de 2013
Intervención Francesa en Mali: una intervención ilegal que produce un brutal ataque terrorista en Argelia
La decisión del gobierno francés de intervenir unilateralmente en Mali parece salirse del mandato del Consejo de Seguridad. Esta intervencion no tenía el respaldo de los países limítrofes. Tanto Argelia como Mauritania se habían mostrado contrarios a una intervención militar y abogaban por una solución política.
Ante esta decisión unilateral , el primer país del Magreb en ofrecer el espacio aéreo a Francia fue Marruecos, Argelia prácticamente lo ha hecho forzada por los acontecimientos. Es sorprendente que la marca de Al Qaeda en el Magreb hubiese preparado un ataque de ese calado en tan poco tiempo, como sigue siendo sorprendente que siempre estén en le punto de mira de esta organización Argelia y el Frente Polisario.
Respecto a la legalidad de la intervención francesa cito dos artículos del profesor Carlos Ruiz Miguel en su blog "Desde el Atlántico" La guerra de Mali es ilegal y Escándalo en la ONU: el embajador ruso desautoriza al francés sobre la guerra de Mali donde demuestra que algunos miembros del Consejo de Seguridad afirman que Francia ha ido "demasiado lejos" en su intervención.Para leer estos artículos pinche en los títulos que están en color azul.
Ante esta decisión unilateral , el primer país del Magreb en ofrecer el espacio aéreo a Francia fue Marruecos, Argelia prácticamente lo ha hecho forzada por los acontecimientos. Es sorprendente que la marca de Al Qaeda en el Magreb hubiese preparado un ataque de ese calado en tan poco tiempo, como sigue siendo sorprendente que siempre estén en le punto de mira de esta organización Argelia y el Frente Polisario.
Respecto a la legalidad de la intervención francesa cito dos artículos del profesor Carlos Ruiz Miguel en su blog "Desde el Atlántico" La guerra de Mali es ilegal y Escándalo en la ONU: el embajador ruso desautoriza al francés sobre la guerra de Mali donde demuestra que algunos miembros del Consejo de Seguridad afirman que Francia ha ido "demasiado lejos" en su intervención.Para leer estos artículos pinche en los títulos que están en color azul.
Visita de Rajoy a Argelia: Una visita rutinaria de bajo perfil
Rajoy cierra cinco acuerdos con Argelia para potenciar la relación bilateral
mariano calleja / ENVIADO ESPECIAL A ARGEL Día 10/01/2013 - 21.33h
Temas relacionadosArgelia (lugares) Mariano Rajoy Brey (personajes)
El primer ministro argelino espera que las empresas españolas contribuyan al fortalecimiento de las relaciones entre los dos países
efe
Mariano Rajoy, junto al primer ministro argelino
El primer ministro argelino, Abdelmalek Sellal, ha señalado en su discurso ante Mariano Rajoy, que las autoridades argelinas esperan sinceramente que las empresas españolas hagan más para explotar las oportunidades que les han sido otorgadas y aprovechar más las enormes potencialidades en el marco de las relaciones y contribuir así al fortalecimiento de las relaciones entre los dos países.
El presidente del Gobierno español se ha desplazado a Argel, en el primer viaje del año, para participar en la V Reunión de Alto Nivel entre Argelia y España, que no se celebraba desde hacía tres años. En el Palacio del presidente de la República se han firmado cinco convenios: cooperación industrial, cooperación energética, uno para la facilitación recíproca en la concesión de visados, cooperación cultural y un acuerdo administrativo en materia de protección civil.
http://www.abc.es/espana/20130110/abci-rajoy-argelia-201301101433.html
mariano calleja / ENVIADO ESPECIAL A ARGEL Día 10/01/2013 - 21.33h
Temas relacionadosArgelia (lugares) Mariano Rajoy Brey (personajes)
El primer ministro argelino espera que las empresas españolas contribuyan al fortalecimiento de las relaciones entre los dos países
efe
Mariano Rajoy, junto al primer ministro argelino
El primer ministro argelino, Abdelmalek Sellal, ha señalado en su discurso ante Mariano Rajoy, que las autoridades argelinas esperan sinceramente que las empresas españolas hagan más para explotar las oportunidades que les han sido otorgadas y aprovechar más las enormes potencialidades en el marco de las relaciones y contribuir así al fortalecimiento de las relaciones entre los dos países.
El presidente del Gobierno español se ha desplazado a Argel, en el primer viaje del año, para participar en la V Reunión de Alto Nivel entre Argelia y España, que no se celebraba desde hacía tres años. En el Palacio del presidente de la República se han firmado cinco convenios: cooperación industrial, cooperación energética, uno para la facilitación recíproca en la concesión de visados, cooperación cultural y un acuerdo administrativo en materia de protección civil.
http://www.abc.es/espana/20130110/abci-rajoy-argelia-201301101433.html
miércoles, 2 de enero de 2013
El ejército marroquí dispara contra representantes de partidos políticos españoles que participaban en una comitiva solidaria en el Sáhara Occidental. Los disparos se realizaron desde el muro marroquí que divide el territorio
En la delegación, con representantes de Izquierda Unida, Iniciativa
per Catalunya, Chunta Aragonesista, UPyD, PSOE, Equo, EH-Bildu y
Compromis, participa el coruñés Miguel Picado.
Praza Pública
02/01/2013 -
17:05h
El pasado 31 de diciembre, los representantes de
organizaciones políticas que participan en el encuentro organizado por
la Coordinadora Estatal de Asociaciones Solidarias con el Sáhara
Occidental (CENAS-Sáhara), se reunieron con la Plataforma Gritos Contra
el Muro Marroquí. La organización denuncia que la comitiva fue recibida a
tiros por el ejercito marroquí.
Esta plataforma está formada por jóvenes saharauis que se encuentran acampados a pocos metros del denominado Muro de la Vergüenza, que separa los territorios ocupados por Marruecos en el Sáhara Occidental de los territorios liberados. La delegación está formada por 13 jóvenes, 4 de la Izquierda Plural (2 de Izquierda Unida, 1 de Iniciativa per Catalunya y 1 de la Chunta Aragonesista), 4 de UPyD, 2 de PSOE, 1 de Equo, 1 de EH-Bildu y 1 de Compromis), y permanecerá en el continente africano hasta el 5 de enero.
En la delegación participa el gallego Miguel Picado, responsable del área de juventud de Izquierda Unida en la comarca de A Coruña. La formación, a través de César Santiso, califica la reacción de los militares marroquis de "totalmente desmesurada en comparación con el carácter pacífico de la protesta". En palabras de Santiso el objetivo del viaje es mostrar la solidaridad y compromiso con la causa saharaui y luchar por la realización del referéndum de autodeterminación prometido en el año 92". Además se quiere denunciar "el abandono y persecución que sufren los saharauis refugiados en el desierto de Argelia desde hace 37 años, delante del silencio cómplice de la comunidad internacional en general y de España en particular que permiten la vulneración de la legalidad internacional y el derecho humanitario".
Esta plataforma está formada por jóvenes saharauis que se encuentran acampados a pocos metros del denominado Muro de la Vergüenza, que separa los territorios ocupados por Marruecos en el Sáhara Occidental de los territorios liberados. La delegación está formada por 13 jóvenes, 4 de la Izquierda Plural (2 de Izquierda Unida, 1 de Iniciativa per Catalunya y 1 de la Chunta Aragonesista), 4 de UPyD, 2 de PSOE, 1 de Equo, 1 de EH-Bildu y 1 de Compromis), y permanecerá en el continente africano hasta el 5 de enero.
En la delegación participa el gallego Miguel Picado, responsable del área de juventud de Izquierda Unida en la comarca de A Coruña. La formación, a través de César Santiso, califica la reacción de los militares marroquis de "totalmente desmesurada en comparación con el carácter pacífico de la protesta". En palabras de Santiso el objetivo del viaje es mostrar la solidaridad y compromiso con la causa saharaui y luchar por la realización del referéndum de autodeterminación prometido en el año 92". Además se quiere denunciar "el abandono y persecución que sufren los saharauis refugiados en el desierto de Argelia desde hace 37 años, delante del silencio cómplice de la comunidad internacional en general y de España en particular que permiten la vulneración de la legalidad internacional y el derecho humanitario".
Fuente El Diario:
martes, 1 de enero de 2013
La inacción del gobierno de Rajoy ante las extorsiones a empresarios españoles en Marruecos descubre la verdadera cara del "supuesto dorado marroquí" para las inversiones españolas. Los empresarios denuncian indefensión por parte del gobierno español cuando son las propias autoridades las que promocionan las inversiones en ese país.
DENUNCIAN EL ABANDONO DEL GOBIERNO ESPAÑOL
Empresarios españoles en Marruecos exigen el mismo trato que a Iberdrola o Repsol ante las "expropiaciones maquilladas" que están sufriendo
LUNES, 31 DE DICIEMBRE DE 2012 PERICO ECHEVARRÍA
Las empresas españolas Torreblanca, Rodrima, Formarroc, y otras están siendo víctimas de "expropiaciones maquilladas", y el Gobierno de España, aún reconociendo los hechos, continúa sin querer apoyar a desvelar una "trama gravísima" que se está dando contra la seguridad de la propiedad privada, y la integridad física de las personas en el Reino de Marruecos, según denuncian desde la Asociación Afectados por la Extorsión en Marruecos.
Empresarios españoles en Marruecos exigen el mismo trato que a Iberdrola o Repsol ante las "expropiaciones maquilladas" que están sufriendoEn un comunicado remitido a la redacción de Diario Progresista, la AAEM se queja de la doble vara de medir del Gobierno del Partido Popular, que no ha tardado ha salido en defensa de empresas como Iberdrola o Repsol ante las “acciones hostiles” de los Gobiernos de Bolivia o Argentina, pero continúa sin pronunciarse antes situaciones igualmente hostiles en Marruecos, donde el propio gobierno alauita participa en intereses económicos comunes de las empresas beneficiadas, como las del Grupo Douja Prom Addoha
Tras la reciente decisión del gobierno de Evo Morales de nacionalizar empresas dependientes de la española Iberdrola, el Ejecutivo español, en un comunicado, aseguró que "la seguridad jurídica es una exigencia insoslayable de cualquier inversión extranjera en Bolivia".
“Y en el caso de Marruecos ¿no lo es?”, se preguntan los empresarios españoles en Marruecos. De igual modo, el Gobierno español ha señalado que "espera que el proceso de evaluación del valor de la empresa nacionalizada [en Bolivia] se realice con criterios exigentes". Sin embargo, guarda silencio ante situaciones similares denunciadas por la AAEM.
El estado marroquí, a través de la Compagnie Générale Immobilière (CGI), filial de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), es propietario del 50% del Grupo Douja Prom Addoha, el cual, según la AAEM, ha extorsionado a empresas españolas, ante la pasividad del Gobierno español, “conocedor de los hechos”. La asociación menciona como ejemplo el caso de la sociedad Torreblanac, a la que "el Grupo Douja Prom Addoha, sin respetar los artículos de la Constitución de Marruecos, relativos a la propiedad privada y la integridad física de las personas, invadió ilegal y brutalmente sus instalaciones, apropiándose indebidamente de los materiales de construcción, ordenadores, maquinaria, documentación y golpeando al personal de la empresa española que se oponía a este ultraje".
Ya en julio de este año, la AAEM se planteó acudir a los tribunales europeos en busca del amparo que no reciben en España. Su presidente, Francisco de Arratia, denunció entonces que esta situación no produce "la más mínima preocupación en el Gobierno Español", lo que quedó acreditado cuando Mariano Rajoy decidió no incluirla en su agenda en los temas a tratar en la cumbre bilateral España-Marruecos celebrada en Rabat en septiembre de este año. Por ello, la Asociación de Afectados por la Extorsión en Marruecos se planteó interponer una demanda contra el Gobierno de España ante la Unión Europea". La asociación denuncia la "falta de interés" del Gobierno ante las "agresiones y extorsiones que se vienen dando contra el patrimonio de empresarios españoles en Marruecos, así como contra su integridad física".
Arratia lleva meses denunciando que en Marruecos, muchos empresarios españoles sufren "extorsiones" y "agresiones". Se han dado casos en los que compañías marroquíes que firmaron contratos con empresas españolas "irrumpen sin orden judicial en las instalaciones" de estas últimas, "se quedan con todo y agreden al que se opone", explica. En los casos en los que se han denunciado los hechos, las autoridades del país norteafricano han respondido que aquellas medidas se tomaron "con motivo", según el presidente de la AAEM.
En una entrevista publicada en Diario Progresista el pasado 23 de septiembre, Arratia aludía a la enorme responsabilidad que contraen las instituciones al impulsar de manera “permanente y temeraria” a los inversores hacia Marruecos, “dejándoles a su suerte ‘el día después’”.
“En muchos casos”, relataba el presidente de AAEM, “los empresarios van a Marruecos habiéndoseles hecho creer que es el dorado para combatir una situación de futuro altamente preocupante en nuestro país. Pero la verdad es que en la mayoría de los casos, no van realmente por haber adoptado una profunda decisión empresarial, sino más bien por angustia, desesperación, una salida hacia delante. Esto se sabe perfectamente allí, y se aprovechan de ello. El final de la aventura empresarial es regresar a España arruinados. Al comienzo de la historia, todos te apoyan a ir, pero el final de la historia es bien diferente, nadie da la cara”.
No es el caso de la actitud mantenida por el Ejecutivo español frente a los gobiernos de Bolivia, como se ha comprobado hace sólo unas horas con Iberdrola, o de Argentina, cuando la presidenta anunció la expropiación de activos de Repsol. Aunque las quejas de los ministros de Rajoy se encontraron con la indiferencia de Evo Morales o Crstina Fernández, los empresarios españoles en Marruecos se sienten, con razón, discriminados.
http://www.diarioprogresista.es/empresarios-espanoles-en-marruecos-exigen-el-mismo-trato-que-a-iberdrola-20877.htm
Empresarios españoles en Marruecos exigen el mismo trato que a Iberdrola o Repsol ante las "expropiaciones maquilladas" que están sufriendo
LUNES, 31 DE DICIEMBRE DE 2012 PERICO ECHEVARRÍA
Las empresas españolas Torreblanca, Rodrima, Formarroc, y otras están siendo víctimas de "expropiaciones maquilladas", y el Gobierno de España, aún reconociendo los hechos, continúa sin querer apoyar a desvelar una "trama gravísima" que se está dando contra la seguridad de la propiedad privada, y la integridad física de las personas en el Reino de Marruecos, según denuncian desde la Asociación Afectados por la Extorsión en Marruecos.
Empresarios españoles en Marruecos exigen el mismo trato que a Iberdrola o Repsol ante las "expropiaciones maquilladas" que están sufriendoEn un comunicado remitido a la redacción de Diario Progresista, la AAEM se queja de la doble vara de medir del Gobierno del Partido Popular, que no ha tardado ha salido en defensa de empresas como Iberdrola o Repsol ante las “acciones hostiles” de los Gobiernos de Bolivia o Argentina, pero continúa sin pronunciarse antes situaciones igualmente hostiles en Marruecos, donde el propio gobierno alauita participa en intereses económicos comunes de las empresas beneficiadas, como las del Grupo Douja Prom Addoha
Tras la reciente decisión del gobierno de Evo Morales de nacionalizar empresas dependientes de la española Iberdrola, el Ejecutivo español, en un comunicado, aseguró que "la seguridad jurídica es una exigencia insoslayable de cualquier inversión extranjera en Bolivia".
“Y en el caso de Marruecos ¿no lo es?”, se preguntan los empresarios españoles en Marruecos. De igual modo, el Gobierno español ha señalado que "espera que el proceso de evaluación del valor de la empresa nacionalizada [en Bolivia] se realice con criterios exigentes". Sin embargo, guarda silencio ante situaciones similares denunciadas por la AAEM.
El estado marroquí, a través de la Compagnie Générale Immobilière (CGI), filial de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), es propietario del 50% del Grupo Douja Prom Addoha, el cual, según la AAEM, ha extorsionado a empresas españolas, ante la pasividad del Gobierno español, “conocedor de los hechos”. La asociación menciona como ejemplo el caso de la sociedad Torreblanac, a la que "el Grupo Douja Prom Addoha, sin respetar los artículos de la Constitución de Marruecos, relativos a la propiedad privada y la integridad física de las personas, invadió ilegal y brutalmente sus instalaciones, apropiándose indebidamente de los materiales de construcción, ordenadores, maquinaria, documentación y golpeando al personal de la empresa española que se oponía a este ultraje".
Ya en julio de este año, la AAEM se planteó acudir a los tribunales europeos en busca del amparo que no reciben en España. Su presidente, Francisco de Arratia, denunció entonces que esta situación no produce "la más mínima preocupación en el Gobierno Español", lo que quedó acreditado cuando Mariano Rajoy decidió no incluirla en su agenda en los temas a tratar en la cumbre bilateral España-Marruecos celebrada en Rabat en septiembre de este año. Por ello, la Asociación de Afectados por la Extorsión en Marruecos se planteó interponer una demanda contra el Gobierno de España ante la Unión Europea". La asociación denuncia la "falta de interés" del Gobierno ante las "agresiones y extorsiones que se vienen dando contra el patrimonio de empresarios españoles en Marruecos, así como contra su integridad física".
Arratia lleva meses denunciando que en Marruecos, muchos empresarios españoles sufren "extorsiones" y "agresiones". Se han dado casos en los que compañías marroquíes que firmaron contratos con empresas españolas "irrumpen sin orden judicial en las instalaciones" de estas últimas, "se quedan con todo y agreden al que se opone", explica. En los casos en los que se han denunciado los hechos, las autoridades del país norteafricano han respondido que aquellas medidas se tomaron "con motivo", según el presidente de la AAEM.
En una entrevista publicada en Diario Progresista el pasado 23 de septiembre, Arratia aludía a la enorme responsabilidad que contraen las instituciones al impulsar de manera “permanente y temeraria” a los inversores hacia Marruecos, “dejándoles a su suerte ‘el día después’”.
“En muchos casos”, relataba el presidente de AAEM, “los empresarios van a Marruecos habiéndoseles hecho creer que es el dorado para combatir una situación de futuro altamente preocupante en nuestro país. Pero la verdad es que en la mayoría de los casos, no van realmente por haber adoptado una profunda decisión empresarial, sino más bien por angustia, desesperación, una salida hacia delante. Esto se sabe perfectamente allí, y se aprovechan de ello. El final de la aventura empresarial es regresar a España arruinados. Al comienzo de la historia, todos te apoyan a ir, pero el final de la historia es bien diferente, nadie da la cara”.
No es el caso de la actitud mantenida por el Ejecutivo español frente a los gobiernos de Bolivia, como se ha comprobado hace sólo unas horas con Iberdrola, o de Argentina, cuando la presidenta anunció la expropiación de activos de Repsol. Aunque las quejas de los ministros de Rajoy se encontraron con la indiferencia de Evo Morales o Crstina Fernández, los empresarios españoles en Marruecos se sienten, con razón, discriminados.
http://www.diarioprogresista.es/empresarios-espanoles-en-marruecos-exigen-el-mismo-trato-que-a-iberdrola-20877.htm
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